Marie Ma Nouvelle Voisine - 26 – Mardi.

Une nouvelle fois, Marie se lève la première et comme la veille, elle ouvre les fenêtres et prépare le petit-déjeuner. Quand Cello se lève, il pose un short et une brassière acheter la veille sur le lit, avant de rejoindre Marie dans la cuisine. Il l'embrasse et lui caresse les fesses et les seins, avant de s'asseoir à table. Marie vient près de son maître, et ils déjeunent tranquillement, avant que la belle aille se préparer pour leur jogging.

Marie met la tenue, qui est sur le lit, comprenant que c'est ce que Cello souhaite qu'elle porte. En mettant la brassière, elle constate que celle-ci ne couvre que la partie haute de sa poitrine, jusqu'à 2 centimètres au dessous de ses aréoles. Et en courant, la brassière risque de remonter et dévoiler les trois quarts de ses mamelles.

Et enfilant ensuite le short, celui-ci est tellement juste qu'il lui rentre dans la raie des fesses, mais aussi entre les lèvres intimes. Elle vient retrouver Cello dans la cuisine et dit :

Marie : « Monsieur, regardez ma tenue est trop petite ! ».

Cello : « Au contraire, tu es parfaite dans cette tenue. Elle couvre juste tes mamelles pour que tu sois pas indécente et ton short dévoile tes fesses et ton joli cul musclé ».

Une nouvelle fois, Marie se laisse convaincre et se dirige vers la porte du garage, quand Cello l'arrête.

Cello : « Non Marie, ce matin nous partons à pied d'ici, nous traverserons une partie du lotissement, puis nous prendrons le petit chemin à travers les champs pour gagner le bois, et nous reviendrons par le même chemin ».

Marie commence à paniquer, sachant très bien qu'elle risque d'être vue par beaucoup de voisins, dans cette tenue très osée, et en compagnie de son amant, alors qu'elle est mariée, mais elle obéit, sachant que Cello fait cela pour son bien.

Ils sortent de la maison de Cello, et partent en trottinant en passant devant la maison de Marie, passent devant les maisons de la rue, avant de tourner à droite et de parcourir une autre rue du lotissement.

Marie sent sa poitrine tressauter à chaque foulée et que la brassière remonte sur ses mamelles. Le short rentre de plus en plus en elle. Elle a l'impression que l'entrejambe du short a disparu dans sa vulve et qu'elle court la chatte à l'air.

Marie est de plus en plus habituée à être exhibée par son voisin, et elle est plus excitée que gênée de courir ainsi. Après avoir quitté le lotissement, ils empruntent un petit chemin pour traverser des champs et pénétrer dans le bois. Là, ils font une pause. Cello constate que la brassière est remontée et découvre totalement la poitrine de sa soumise et que le short a disparu entre les lèvres intimes de la belle. Il constate aussi que le haut de ses cuisses est mouillé et se doute que ce n'est pas que de la sueur. Après une arrêt, assis sur la souche d'un
tronc d'arbre, Cello réajuste la brassière de Marie.

« Voyons ! Remet ta brassière correctement, tes mamelles sont à l'air, que vont penser les voisins, s'ils te voient ainsi ? »

Cello, tout en lui faisant ce reproche, est fier de sa belle, qui n'a pas tenté de cacher elle-même sa poitrine. Ils repartent par le même chemin, et Cello sait que lorsqu'ils arriveront dans leur rue, Marie aura certainement de nouveau les tétons à l'air. Marie s'en doute également, mais ne fait aucune remarque, excitée de courir à demi-nue.

En traversant le lotissement, elle courre en regardant droit devant elle, ne souhaitant pas voir si d'éventuel voisin ou voisine ne la voit. Une fois rentré chez Cello, ils se désaltèrent et Cello lui retire lui même sa brassière et son short, lui faisant remarquer qu'elle est trempée. Il lui demande de ne pas prendre de douche, car il l'a veut excitée pour l'arrivée des jeunes.

Elle va dans la chambre se couvrir de son peignoir en soie. Celui-ci est court, il lui arrive à mi-cuisses et le dos est totalement transparent.

C'est Cello qui accueille les garçons et Marie s'avance à leur rencontre, leur fait la bise en frottant ses mamelles contre leur torse.
Puis la séance de pompage de bites commence. Marie leur vide les couilles dans le même ordre que les fois précédentes, mais les garçons s'enhardissent de plus en plus, en dévoilant et malaxant la poitrine de Marie assez durement. Certain comme Alban vont même jusqu'à l'insulter en la traitant de salope, traînée, pompe à sperme.

Après avoir sucé et avalé le mélange des 5 spermes, Cello invite les garçons à venir boire un verre de jus de fruit sur la terrasse. Marie les rejoint quelques minutes plus tard, le temps pour elle de se laver les dents et de retirer son peignoir. C'est totalement nue qu'elle apparaît sur la terrasse. Les jeunes restent sans voix, bouches bées, car c'est la première fois qu'ils la voient intégralement nue. Marie fait le service et ils commencent à discuter, même si les garçons ne quittent pas Marie des yeux.

Cello et Marie apprennent qu'ils sont tous issus de famille très aisées, à l’exceptions d'Alban, qui vit seul avec sa mère, et que c'est par hasard qu'il était en compagnie des quatre autres, le jour où Laurent les a recrutés. Les 4 amis partent en août en vacances, seul Alban qui a besoin d'argent pour ses études reste dans la région et cherche du travail comme jardinier paysagiste, mais que malheureusement pour l'instant il n'a encore rien trouvé.

Cello leur propose alors son jeu de cartes, et ils adhèrent aussitôt et c'est Charles qui est désigné pour prendre une carte. Il tire la carte : « Marie est un esquimau ». Ils demandent immédiatement ce que cela signifie. Cello leur explique qu'ils doivent mettre les mains dans le dos et imaginer que Marie est une glace, qu'ils ne peuvent se servir que de leur bouche pour lécher, sucer, aspirer, mordiller, pénétrer toutes les parties du corps de Marie, et ils doivent changer de place régulièrement pour varier les plaisir.

Marie débarrasse la table des verres et de la carafe et s'allonge sur la table, les mains derrière la tête et les cuisses ouvertes, offrant aux 5 bouches gourmandes tout son corps.
Ils se jettent sur elle, comme des morts de faim. Deux sur ses seins, un sur sa bouche, un sur son sexe et le dernier sur ses pieds. Cello supervise le jeu et oblige les garçons à changer de morceaux de chair afin de varier les plaisir. cela pendant une heure.

Marie n'a jamais connu un tel délice que de se faire lécher, sucer et même mordre. Quel plaisir de se faire aspirer les tétons et en même temps se faire pénétrer la chatte par une langue chaude et humide, même inexpérimentée, une autre qui vous lèche les aisselles ou les orteils et la dernière qui se mêle à la sienne dans sa bouche.
« Oh monsieur Cello ! Quelle super idée que de me livrer en pâture à 5 bouches en même temps ».

Marie jouit plusieurs fois, sous le traitement de ses garçons et c'est épuisée qu'elle les remercie et les embrassent lorsqu'ils partent.

Cello raccompagne les jeunes jusqu'à la porte et retient Alban en lui demandant de rester, car il a peut être quelques choses pour un job. Il revient avec Cello sur la terrasse. Marie est allongée sur l'un des transat où elle s''est endormie. Cello imagine qu'Alban pense qu'il va lui communiquer une ou deux adresses où il peut aller de sa part.

Cello le surprend en lui proposant de travailler pour lui, qu'il sera payé 1500 euros par mois et pourra même déjeuner avec eux le midi. Il commencera à 9 h et jusqu'à 13 h et de 14 h à 17 heures. Il s'occupera du nettoyage de la piscine, de l'entretien de la pelouse et des parterres, sachant que c'est Marie qui décide des fleurs à planter. Il ajoute enfin qu'il devra aussi s'occuper de Marie.

Alban est très satisfait de la proposition de Cello, sachant qu'il sera capable de faire les tâches que Cello vient de lui énumérer à l'exception de la dernière, où il a besoin de précisions.

A. : « Qu'entendez-vous par s'occuper de Marie, monsieur Cello ? »

C. : « Tu continueras à venir le matin avec tes amis, jusqu'à ce que ceux-ci partent en vacances pour donner sa dose de sperme à Marie, et faire le petit jeu de cartes commencé aujourd'hui.
Après le départ de tes amis, tu devras prendre soin d'elle, même en ma présence.

A. : « Et ça consiste à faire quoi exactement? »

C. : « Je te précise que bien sûr tu seras payé même quand tes amis seront là »

A. ; « Même quand elle nous suce et qu'on joue après ? »

C. : « Bien sûr, c'est pour le bien-être de Marie, c'est donc normal que je te rémunère pour cela. Autrement, tu devras toujours vérifier qu'elle a le corps parfaitement enduit d'huile solaire, lorsqu'elle s'allonge au soleil pour bronzer.

A. ; « Même ses fesses et son...»

C. ; « Bien sûr, surtout ses seins, ses fesses et sa chatte, je ne souhaite pas qu'elle prenne un coup de soleil sur les parties sensibles de son corps ».

A. : « Compris ! J'en prendrais soin »

C. ; «  Je n'en doute pas un seul instant. Tu devras aussi lui faire faire une heure de sport par jour, pour qu'elle retrouve la ligne (abdominaux, fessiers, cardio),

A. ; « Oh ça va, je fais pas mal de sport ! »

C. ; « Oui mais Marie n'aime pas trop souffrir, du moins pas de cette façon. Tu devras te montrer très ferme et même menacer de la punir » ;

A. ; « Mais je ne pourrais pas la punir ».

C. ; « Ne t'inquiète pas, je suis là pour cela »

A. : « Ouf ! Je me voyais mal punir Marie ».

C. : « Non, mais tu assisteras à ses punitions, Cela sera plus humiliant pour elle et autrement tu devras la promener en laisse à quatre pattes comme la petite chienne qu'elle est, lui faire faire ses besoins près du tas de déchets au fond du jardin et ensuite de ramasser ses excréments et les mettre dans les ordures et après la passer au jet, pour lui laver les orifices ».

Alban semble un peu surpris de ses précisions, mais est émoustillé de s'occuper de la belle soumise de son patron et d'être rémunéré pour cela.

Cello enchaîne en lui disant que le reste du temps, il devra tondre la pelouse une fois par semaine, s'occuper des arbustes. Il pourra aussi aider Marie à agencer ses parterre de fleurs et nettoyer la piscine tous les matins.

Alban demande la permission de téléphoner à sa maman pour lui annoncer la bonne nouvelle.
Bien sûr, il lui dit qu'il est engagé pour s'occuper des extérieurs de la propriété de Cello, mais ne parle pas de Marie.

Pendant qu'Alban téléphone à sa mère, Cello réveille Marie et lui annonce qu'il a embauché Alban pour nettoyer la piscine et s'occuper des extérieurs de la propriété.

Marie est contente de la nouvelle, car Alban est un peu son chouchou et reste allongée sur le transat. Cello lui annonce ensuite que le garçon est aussi chargé de s'occuper d'elle et lorsque Alban revient sur la terrasse, Cello lui dit :

C. : « Alban, je crois que Marie ne sais pas protéger avec de l'huile solaire ».

Alban s'approche de Marie et saisit la bouteille d'huile solaire et dit :

« Excusez-moi, Marie mais je dois prendre soin de vous et vous mettre de l'huile sur le corps ».

C. : « Alban, tu ne dois pas t’excuser pour t'occuper de Marie, mais lui dire - Marie, tu ne dois pas aller au soleil sans te protéger, et tu lui verses de l'huile sur le corps et tu la masses pour enduire tout son corps ».

Alban verse alors de l'huile sur les épaules de Marie et commence à la masser, les épaules, puis les bras et il descend sur ses seins. A peine a-t-il touché ses pis, que les tétons de Marie se dressent. Cello qui assiste au spectacle note que Marie écarte davantage ses cuisses. Alban descend ensuite ses mains sur le ventre de la belle, qu'il masse consciencieusement. Ensuite, il se déplace et prend un pied de Marie, qu'il masse puis l'autre avant de remonter sur les mollets de la soumise. Lorsqu'il arrive sur les cuisses de Marie, cuisses largement écartées, il reverse un peu d’huile sur celles-ci et ses mains remontent vers le sexe de Marie.

Alban commence à masser le sexe de Marie. Celle-ci s'ouvre de plus en plus et gémis sous les mains du garçon. Ils écartent les lèvres intimes de la belle et les pétrie.

M. : « Oh oui Alban ! Continue... Branle-moi ! Je t'en prie fais moi jouir... ».

Alban bande comme un âne, mais se retient pour ne pas violer Marie. Il arrête et s'éloigne du transat en lui disant, dans une demi-heure, il faudra te tourner pour cuire l'autre face. Marie est déçue, mais comprend la réserve du garçon. Elle se laisse aller à rêver qu'il la prendra plus tard. Alban lui, va s'occuper de la piscine et branche l'aspirateur flottant pour enlever les quelques feuilles qui flottent à la surface.

Cela fait maintenant trente minutes que Marie est allongée sur le dos, offrant son corps au soleil. Cello est à quelques mètres d'elle en train de préparer le barbecue. Cello profite que la belle somnole pour dire à Alban :

C. : « Tout à l'heure en regardant masser Marie, j'ai constaté que tu bandais fort. Mais tu sais, tu peux lui demander de te sucer, quand tu en as envie ».

A. :« Oh ! Merci monsieur Cello »

Et il va vers le transat, où Marie est endormie.

« Allez Marie, c'est cuit ! Il faut vous retourner » dit-il en souriant.

Marie regarde son jeune admirateur, lui sourit et se dresse sur le transat pour changer de position et de s'allonger sur le ventre. Le garçon procède de la même manière que précédemment. Il commence par enduire les épaules, puis les omoplates avant de descendre sur le bas du dos de la soumise. Ensuite, il s'occupe des pieds de Marie et remonte sur ses jambes. Les mollets, les genoux et les cuisses de Marie sont tout à tout recouvert d'huile solaire.

Puis Alban commence à huiler les fesses de sa « patronne ». Il caresse et malaxe le postérieur de Marie avec plus ou moins de douceur et de dynamisme. Marie semble apprécier le massage de son fessier par le jeune homme. Cello constate que sa maîtresse s'ouvre davantage et soulève parfois son popotin, allant ainsi au devant des mains d'Alban.

Alban verse de nouveau de l'huile sur le corps de Marie, visant la raie culière de la soumise. Il écarte les deux globes musclés de Marie et commence à masser le sillon de Marie. Après avoir bien caresser la raie de la belle, il s'attarde sur la rondelle de la soumise. Marie se trémousse et geint sous la caresse du jeune homme.

M. : Oh oui Alban ! Continue...Encule-moi !... Fais-moi jouir du ... »

Alban ne laisse pas le temps à Marie de finir sa phrase et enfonce d'un coup son majeur dans le fondement de Marie. Son doigt a totalement disparu dans le fion de Marie.

M. : « Oh petit salaud ! Oh que c'est bon ! »

Alban branle maintenant le cul de Marie et ajoute son index dans la rondelle de la belle. Cela fait maintenant près d'une dizaine de minutes que Marie se fait branler le fion, quand Alban décide de mettre un troisième doigt dans le cul de la soumise. Celle-ci se tortille dans tous les sens, criant son plaisir et elle ne tarde pas à jouir alors que les doigts d'Alban sont plantés dans son cul.

Alban retire ses doigts, baisse son short et approche son sexe tendu du visage de Marie. Celle-ci att la bite d'Alban et l'englouti totalement dans sa bouche. Après quelques caresses buccales, Alban sent qu'il va jouir et tente de se retirer de la bouche de Marie, mais celle-ci le retient en maintenant fermement ses fesses pour le maintenir au fond de sa gorge et Alban jouit dans le gosier de la soumise, remplissant la bouche de Marie de sa liqueur viril. Marie lâche alors le jeune homme, qui se retire de la bouche gourmande de la belle. Elle avale le sperme d'Alban et nettoie le sexe d'Alban. Marie sourit au jeune et lui dit :

« Merci Alban ! Ton sperme est encore meilleur quand il est tout chaud. Maintenant je veux que tu jouisses toujours dans ma gorge ».

Alban se lève, remet son short et va chercher le collier et la laisse de Marie. En revenant, il lui donne une claque sur les fesses de la belle et lui dit :

« Allez Marie, c'est l'heure de la ballade avant de déjeuner »

Et il attache le collier autour du cou de Marie. Puis il fixe la laisse. Marie se lève pour suivre son jeune accompagnateur.

A ce moment là, Cello qui a assisté à toute la scène, dit à Alban :

C. : « Tu es sûr de ne rien avoir oublié ? »

A. : « Heu... Je ne crois pas, enfin heu ! »

C. : « Tu as bien mis tes doigts dans le cul de Marie ? »

A. : « Ah oui ! J'ai oublié de me laver les mains »

C. : « Non, tu as tout faux. C"est Marie qui doit te nettoyer les doigts avec sa langue et sa bouche, de même qu'elle devra te nettoyer la bite quand tu l'enculeras. Allez donne-lui tes doigts à lécher. »

Alban de la remarque de son patron, tend sa main vers le visage de Marie. Celle-ci ouvre aussitôt ma bouche et commence par lécher les doigts du jeune homme, avant de les mettre dans sa bouche, et de les lécher consciencieusement.

Marie toujours en laisse se redresse pour la ballade.

A. : « Non Marie ! A quatre pattes ma belle, comme la petite chienne que tu aies ».

Marie est surprise autant de l'ordre donné que du tutoiement du garçon, mais obéis.

Alban marche tranquillement dans la propriété, obligeant Marie à marcher au pied, c'est à dire juste a côté de lui. Alban profite parfois pour flatter la tête de Marie et il lui dit :

A. : « Quand tu as envie de faire tes besoins, tu abois comme une bonne petite chienne ».

Et la ballade reprend pendant encore une dizaine de minutes, lorsque :

M. : « Waouf ! Waouf ! »

Alban s'arrête dans le fond du jardin, et regarde Marie. Celle-ci écarte le plus possible ses jambes et urine devant le jeune homme, un jet puissant, chaud et odorant.

Lorsqu'elle a fini, elle avance pour faire comprendre à Alban qu'elle a fini et celui-ci la conduit sur la dalle de béton. Il attache la laisse à un poteau, saisit du tuyau d'eau et tourne le robinet. La pression est forte et Alban approche le jet de la chatte de Marie et lui nettoie le sexe à l'eau froide. Puis il regagne la terrasse, où Alban libère la femelle de sa laisse et de son collier. Marie se met immédiatement debout,et s'étire, car elle a mal au dos, d'avoir marcher à quatre pattes pendant plus d'une demi-heure.

Alban lui donne une claque sur les fesses et dit :

« Vous pouvez vous reposer. Vous êtes une bonne petite chienne ».

Marie est surprise que le jeune homme reprenne ses vouvoiements, mais se dit qu'Alban veut juste montrer son autorité lorsqu'elle en « mode chienne », et elle sourit.

Après le déjeuner, Marie demande des conseils à Alban, pour agencer au mieux ses parterre de fleurs. Ils partent tous les deux dans le jardin. Pendant ce temps, Cello reçoit un appel du photographe, lui confirmant qu'il a terminé les travaux qu'il lui a confié. Il décide que les portraits seront livrés et installés les tableaux dans la maison de Marie.

Alban conseille Marie sur les fleurs à plantées et il la laisse dans le jardin, et revient sur la terrasse. Cello l'entraîne alors chez Marie, où il lui explique qu'il veut disposer les meubles différement. Après reflexion, il modifie la place des meubles du séjour, afin de laisser une place stratégique sur le mur principal de la pièce pour mettre en évidence le portrait grandeur nature de Marie. Ensuite, ils vont dans le bureau d'Hervé, qu'il aménage également d'une autre façon pour les deux autres tableaux soient vus dès qu'on arrive dans cette pièce.

Cello ne donne aucune information à Alban sur le bien-fondé de ses changements.

Lorsqu'il revienne sur la terrasse, Marie est dans la piscine à barbotter. En voyant les deux hommes revenir, elle demande :

M. :  « Excusez-moi monsieur Cello, je peux savoir ce que vous êtes aller faire chez moi ? »

C. : «  Tu verras cela demain, mais pour l'instant il serait bon que tu fasses un peu de sport. Alban, tu peux faire faire quelques longueurs de piscine à Marie ? »

A. : « Oui monsieur tout de suite ».

Alban plonge aussitôt dans la piscine rejoindre la soumise et la fait nager pendant une bonne demi-heure, en l'encourageant :

« Allez Marie, plus vite ! Encore un effort ! C'est pour votre bien ! Vous serez encore plus jolie dans quelques temps ! »

Au bout d'une demi-heure de nage, Alban fait sortir Marie de l'eau. Alors qu'elle sort de la piscine, Alban lui donne une claque sur les fesses :

« C'est bien, Marie ! ».

Alban prend ensuite congés de ses employeurs, avec le sentiment d'avoir consciencieusement fait son travail, et que monsieur Cello est satisfait de lui. Une fois seul, le couple décide de passer une soirée tranquille en restant à la maison.

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